Broken Hill et l'outback

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Allez, cela fait bien longtemps que je ne vous avais pas emmenés en Australie. Le mal est réparé et nous voici maintenant dans l'outback, le vrai, celui dont on nous parle dans les livres: des routes toutes droites qui font des centaines de kilomètres, sans circulation, des kangourous, des chèvres et moutons sauvages, des paysages secs où la végétation tente comme elle peut de pousser.





Cette route, au départ d'Adélaïde, nous a menés à Broken Hill, ville plutôt sympathique au milieu de nulle part, qui a prospéré grâce aux mines d'argent et de zinc, entre autres. Aujourd'hui, seule une mine fonctionne, la plus grosse mine d'argent au monde.

Broken Hill est donc perdue dans l'outback, tranquille et petite.



Broken Hill est connue au moins grâce à un film: Priscilla folle du désert qui raconte de travestis qui sillonnent l'Australie profonde dans leur bus. Et cette Priscilla, arrivée à Broken Hill, se rend au Palace Hotel, celui-là même:



J'ai aimé cette ville pour, outre son éloignement, son architecture contenant pas mal de bâtiments de style victorien, mélangés avec des immeubles et maisons nettement plus récents.





Nous avons dominé la ville en allant au mémorial, dressé en hommage aux mineurs morts dans les mines; il y a donc le mémorial avec un restaurant et "big bench" (le gros banc) car les Australient aiment les objets de taille démesurée.







Voilà le monument aux personnes mortes dans les mines:



Nous n'avons passé qu'une journée et une nuit à Broken Hill mais nous avons aimé.
A suivre:Silverton, le village fantôme...

Ca a secoué!

Aujourd'hui, dimanche 16 mars vers 16h, alors que je regardais Desperate Housewives, la terre a tremblé. Deux ou trois secousses qu'on a bien ressenties; le rapprochement avec un séisme a été rapide mais ça fait bizarre, même si, bien sûr on ne risquait pas grand chose.
A 18h, aux informations, il a été confirmé que c'était bien un tremblement de terre, de magnitude 3, à seulement 60 km de Tahiti.

Comme à Monaco

En ce moment, au port de Papeete, il y a plusieurs bateaux, que dis-je, yachts de luxe. C'est assez rare qu'il y en ait autant. D'accord, il n'y en a que 5 au maximum mais d'habitude, c'est plutôt un à la fois.

Il y a donc le "Maltese Falcon", bateau à voiles révolutionnaire et ultra-moderne, propriété d'un Américain qui a fait fortune dans l'investissement où je ne sais quoi (ces métiers me dépassent):


Pour plus de détails, il existe des sites ici ou là.

Il y a aussi le Ice qui appartient à un magnat russe du pétrole:


Les détails sont ici et là

Derrière lui, vous voyez un autre yacht, mais je ne sais pas quel est son nom.
Et on voit le Tia Moana qui est un yacht de location destiné aux croisières de luxe dans les îles de la Société.


Est présent également, comme souvent, le bateau de Kersauzon, "Ocean Alchemist".


Enfin, moins luxueux, voici le Vae Anu, bateau local de fret et accueillant quelques voyageurs, qui faisait les trajets dans les îles Sous le Vent:

On a encore voté

Les municipales avaient également lieu en Polynésie. Nous sommes donc retournés aux urnes et nous y retournerons dimanche prochain puisque la majorité absolue n'a pas été atteinte par la candidate arrivée en tête.

Comme à chaque fois, l'ambiance était à la fête autour des bureaux de vote, avec musique, roulottes, t-shirts et drapeaux aux couleurs des différents candidats (5 listes à Pirae).

Moorea Pearl Beach

Il y a maintenant 3 semaines, nous étions donc à Moorea pour un petit week-end repos de seulement 24 heures. Nous avons pris une chambre au Moorea Pearl Beach, la première fois que nous étions dans un tel hôtel. Et finalement, ça nous a plu. Ce n'est pas la même chose qu'une pension évidemment, c'est plus formaté, mais bien sympathique, notamment quand notre objectif du week-end est de ne rien faire.

Nous avions une chambre avec terrasse dans le bâtiment principal; un bungalow jardin nous aurait tenté mais en réservant la veille pour lendemain, forcément, nous n'avions plus beaucoup de choix.



Un bungalow jardin avec jardin privatif:


Et d'autres:


Le jardin avec un aperçu sur la piscine et un des bungalows "overwater":


La piscine à débordement, en fin de journée, pas vraiment envahie:


Et la plage, parce qu'il y a aussi une plage.



Et les bungalows sur pilotis, très chers, même en tarif résidents:


Nous n'avons pas mangé au restaurant de l'hôtel, préférant aller ailleurs, et nous n'avons pas été déçus du tout, je vous en reparlerai.
Vivement un nouveau week-end à Morrea!